fbpx

Je me connecte

E-mail*
Mot de passe*
Je valide > Mot de passe oublié?

Je m'inscris

*Champs obligatoires

Conformément à la loi « informatique et libertés » du 6 janvier 1978 modifiée en 2004, vous bénéficiez d’un droit d’accès et de rectification aux informations qui vous concernent.
1. Mon Compte
2. Mes activités
3. Mes Newsletters

Vous devez lire et accepter nos conditions générales de vente et d’utilisation *

* Mentions obligatoires

Je souhaite recevoir la newsletter :

Je m'enregistre

Mot de passe oublié ?

X
laviedurail.com
  • © Rainerhaufe

    En gare centrale de Dessau (Allemagne), le VT 670-003 « Princesse Louise » est l’un des deux autorails à deux niveaux et deux essieux à avoir originellement repris du service sur la ligne Dessau - Wörlitz, chez l’opérateur privé DVE (Dessauer Verkehrs und Eisenbahn Gesellschaft, société des transports et du chemin de fer de Dessau). À la Deutsche Bahn, cet autorail portait, en réalité, le numéro 006 (1er juin 2018).

  • © M_H.DE

    Le VT 670-005 « Elfriede », rebaptisé « Prince Franz », ouvrira le trafic ferroviaire sur la ligne Dessau-Wörlitz, le 19 juin 2011, après neuf mois de substitution routière due à l’indisponibilité de ses deux autres camarades de jeu, ce malgré la « cannibalisation » du troisième VT 670 initialement récupéré par la DWE.

  • ©P. Laval

    Les autorails britanniques doubles Pacer étaient un peu plus élaborés dans leur conception, mais ils reconduisaient le principe d’un châssis à deux essieux et d’une structure de caisse inspirée de la construction plus légère des autobus.

L’impossible percée de l’autorail léger

2 avril 2020
- -
Par : Philippe Hérissé

Qu’il ait été spécifié pour un autorail, un métro ou un tramway, l’essieu indépendant a rarement été gage de succès. Sur les véhicules ferroviaires, les ingénieurs n’ont, jusqu’ici, jamais trouvé mieux que le bogie. C’est lui qui permet une parfaite inscription en courbe, et qui procure le meilleur comportement dynamique. Le roulement de l’autorail à deux essieux n’a pu parvenir à s’approcher de celui de son homologue à bogies qu’au prix d’indéniables complications, que surent davantage maîtriser les concepteurs de l’A2E français que ceux de cet incroyable autorail allemand…

Les trains de demain naissent parfois… d’un bon repas ! L’histoire m’a été racontée, voici quelques années, par un ingénieur en chef du Centre d’études et d’essais de la Deutsche Bahn (DB), à Munich-Freimann. Un jour de 1993, le président des Chemins de fer allemands, Heinz Dürr, déjeune au restaurant, en compagnie de ses plus proches collaborateurs. À un moment donné, il sort son stylo, et se met à dessiner sur la nappe en papier. Bientôt prend forme, sous l’œil intrigué de ses invités, l’esquisse d’un étrange autorail « mono- caisse » à deux niveaux, qui ne repose, de surcroît, que sur deux essieux. « Voilà ce que je voudrais que vous me fassiez ! », aurait alors lancé le président à ses collaborateurs. Étrange idée en vérité, et qui ne rentrait franchement pas dans les canons de la construction ferroviaire habituelle. Comment pouvait-on ainsi associer à l’objectif de grande capacité, que suggérait le recours à une architecture à deux niveaux, cet impératif, pour le véhicule, d’être court et léger, puisqu’il ne devait posséder, en tout et pour tout, que quatre roues ? Serait-ce les autobus à étage de la BVG (Berliner Verkehrsgesellschaft, les transports en commun de Berlin) qui avaient inspiré au grand patron cette transposition, assez osée, de l’univers urbain vers le monde ferroviaire ?

RETROUVEZ L'INTEGRALITE DE L'ARTICLE DANS

Historail n°52

Vous êtes abonné à RAIL PASSRail Pass est la formule d’abonnement
100% numérique du Groupe La Vie du Rail.

- Accès à tous les numéros en cours et aux archives
des magazines du groupe La Vie du Rail
(Rail Passion, La Vie du Rail hebdo et mag et Historail)

- Accès à toutes les vidéos en cours
et aux archives de Rail Passion.

Soit près de 1 000 numéros et 150 vidéos !
En savoir plus
ou vous avez acheté ce numéro ?
Connectez-vous pour pouvoir lire ce numéro en ligne.



Sur le même sujet

Un Commentaire

  1. Güntürk Üstün 8 avril 2020 1 h 42 min

    Je sais ça: Les autorails sans bogies ne peuvent capturer un succès ni miraculeux ni magique dans l’univers ferroviaire en raison de problèmes techniques bien éprouvés!

    Répondre

Commenter l'article

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

NOS NEWSLETTERS

  • La lettre du cheminot

    Chaque semaine, recevez les infos les plus populaires dans le monde des cheminots actifs

  • La lettre du groupe

    La Vie du Rail vous informe de ses nouveautés, la sortie de ses magazines, livres, événements ...

  • La News Rail Passion

    Recevez toutes les actus du magazine, les dossiers spéciaux, les vidéos, le magazine dès sa parution

  • La Boutique

    Nouveautés, offres exclusives, faites partie du club privilégiers des clients de la boutique de la Vie du Rail

  • Photorail

    Recevez une fois par mois nos actualités (nouvelles photographies ou affiches touristiques rajoutées sur le site) et nos offres ponctuelles (promotions…)

EN SAVOIR PLUS